Portée par le vent…

Juste une plume...

...poussée par le vent...

Nouveau

Deuil (musique au lecteur )

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Peu importe que j’aie les yeux grands  ouverts ou grands fermés…

Parce que je ne suis submerger que de  ce silence .

Pas que je n’ai rien dit bien au contraire.

Même que j’en ai trop dit à force de vouloir sortir de moi ce vide bouleversant.A trop vouloir..forcément on dilue.

Mais ce  ne seront à jamais que des mots vains, parce qu’on sais tous , que si ma  voix ne rebondit pas contre un mur,un objet, ou que si mes  mots ne tombent dans une oreille…ils se perdront dans l’infini.

Bref…J’en ai surement trop dit…mais ce monologue   qui sonnait comme  un cri  muet  n’a su ni dessiner ni tracer les contours de  ton silence assourdissant…

Ce vide infini qui reste ma plus grande peur.

Ce rien que je ne peu exprimer .

Ni noir ni blanc.

Un état omniprésent  d’apesanteur incontrôlable et sans oxygène.

Un vide qui ne ressemble  même  pas à la nuit,car même sous le ciel le plus noir …on le sais…ont peu deviner les étoiles.

Juste un silence glacial, sombre et douloureux où se perdent mes mots restés muets et incolores.

Voici ce qu’est pour moi…

au creux de cette minutes de lucidité…

dans le bourdonnement de cet instant où tu n’es plus et ou règne ce “perpétuel” qui m’effraie parce que trop………….infini…

Et …Je comprend que ce vide …

ce silence…ou je ne t’entend pas.

cette noiceur …ou je ne te vois plus.

Tout cet “incommensurable”  est sûrement la teinte inconnue…

…le langage imperméable des disparus …

…et des absents.

onde

Sorcière

Et si dans ce moment de silence matinal.

Je me laissais envahir de cette paix…

Ce moment précis ou tout dort encore..

Cet instant oû la nature reprend ses droits.

Et si en ce moment rare et béni

je me contentait simplement d’être…

Sans pensées..sans devoir…

Sans même un souvenir…

Sans même un rêve.

Et si ce n’était ni un soir,

Ni un matin.

Si il n’y avait ni culpabilité…ni regret…

ni même de fierté…

Et si je me couvrait d’un voile du même blanc que la douceur de cet instant…

Jusqu’à disparaitre .

Ou plutôt que de disparaitre …

juste  faire partie de ce moment..

Être ce moment.

Et si je te racontais ce moment…

Dis moi…

l’entendrais tu ce silence?

Sorcière

When September comes.

Quand viens septembre et que les rues et les ruelles font le deuil en silence de touts les jeux d’ enfants qui ont repris le chemin de l’école.

Quand viens Septembre et que l’ambre de l’automne s’installe…avec ses tons si puissants …que même la pluie n’arrive  à  en diluer l’intensité.

Quand viens Septembre…et que la nature commence à étendre ses parfums  comme on étend une nappe de fin lin…recouvrant tout avant que le gris et le blanc pur ne s’installent pour les longs mois d’hiver.

Quand viens septembre ….et que touts les poètes en chantent les louanges aux quatre coins du pays…en des mots chauds sensuels ,vibrants et …bouleversants.

Quand viens septembre …et que touts les peintres essaient d’en imiter les couleurs  en passants par les plus vives  jusqu’aux   plus subtiles nuances d’or .

Quand viens Septembre et l’ampleur de ses miracles.

De l’aurore au crépuscule..

Moi…je le jure… docile… humblement j’admire et j’écoute..

Je ressent et je vibre .

Et émue je contemple ce mois rempli d’or et de pluie.

Car…

Dans toute la magie de Septembre,

Dans toute son abondance légendaire,

Dans  son  immense  générosité.

Septembre t’aura vu naitre.

Et je dois bien l’avouer…

bien égoïstement…

Septembre …qui se balance entre l’été et l’hiver …

m’aura donner le doux privilège de m’appuyer  sur ton épaule comme on  s’appuie contre la vitalité d’un arbre fort.

Septembre m’aura permis de ressentir ta chaleur lorsque tu m’accueille.

Septembre m’aura permis de me retrouver dans ton regard aimant … intense et profond .

Et ce…chaque fois que je me suis sentit perdue.

Oui..il faut le dire…

Septembre aura permis tant d ‘années de bonheur..

et tant de complicités…

Tant de rêves a rêver…et encore et encore.

Oui…on dit de Septembre qu’il est abondance et générosité…

Assurément il l’a été pour moi depuis ce doux jour du miracle de  vie qui aura permis notre rencontre..

Sorcière

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Sa voix sereine ,glisse,

depuis toujours,

il me semble,

comme  l’écho familier entre  mes murs…

Sa voix qui me rassure et m’apaise.

Coule comme la chaleur bienfaisante du soleil qui passe par la fenêtre,

contrastant avec la fraicheur de l’automne qui règne a l’extérieur…

,

,

À l’automne il a emprunter ,

L’accalmie des fenêtre qui se ferme sur des cours désertées ,

À l’automne…

Il a emprunter la force des couleurs vibrantes  dans le souffle du vent….

À l’automne ..

Il a emprunter …

La joie ..la chaleur..la douceur…

Le réconfort .

.

.

Il est assurément le fils de l’automne…

Venu avec Septembre..

Il en porte touts les contrastes…

La fraicheur…la chaleur des couleurs…

Le calme…la vivacité…

La force tranquille…

,

,

Avec lui …

comme avec l’automne ,viennes…

l’apaisement..

La complicité…

Les ballades..

la joie des conversations…

Avec lui…

viens…

La chaleur de moments précieux échangés

de doux et précieux partage …

qui se poursuivrons…

De Septembre …à Septembre d’après…à Septembre d’après….

,

,

Et puis…bien sur il y a Septembre qui l’a vu naitre…

et tout juste après viens…

Octobre…Clignement d'œil

 

 

 

Sorcière

 

Lune de Septembre (Moon light)

(cliquer sur le lecteur pour la musique accompagnant le texte)

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Alors qu’après un long engourdissement mon âme s’éveille à ce nouveau monde qui m’entoure.

.

.

J’ouvre les yeux….

.

.

 

Devant moi …d’ architecturales tours rivalisent d’orgueil avec la majesté des innombrables arbres qui ont survécu à l’avancement du béton et de l’asphalte au sein de ce que l’on appel ..la ville.

Je suis là…simplement contemplative de cet inexploré tableau .

Et j’anticipe avec ma joie tranquille, la venue des saisons qui porterons tour à tour de nouveaux  atours.Me livrant des paysage a découvrir…

.

.

.

J’observerai l’automne s’installer sur le paysage insolite de ma ville…

Mon regard la surplombant toujours…

Mais sous un angle si différent.

.

.

Ma vie , comme celle de tous , a perdu ses repères.

Une années chargée d’inquiétudes…

D’incompréhensions…de peur .

Et de trop de lucidité.

.

.

Mais même si l’obscurantiste règne partout.

Moi…dans ma vie…entre une lumière .

Une lumière éclairant avec force tout ce qui m’entoure.

Une lumière poussée par une force aussi puissante que les grands vents .

,

,

Cette lumière omniprésente jamais ne vacille.

Elle éclair tout ce que je suis et tout ce qui m’entoure.

Elle brille sur mes soleils , comme sur mes noirceurs.

.

.

Et dans cette réalité que l’on connait…(la mienne essentiellement …)

Cette lumière qui possède sans doute une part d’éternité…(Ca se sent..)

Est née sous une lune de septembre.

Sous le visage aimé d’un homme .

Cet homme ,qui ,dans toute sa générosité m’offre tout ce qu’il est…m’offre sa présence…son écoute…son appui…s a lumière…mais surtout…

Il m’offre son immense tendresse.

.

.

Tendresse qui m’est cruciale…vitale…essentiel.

.

.

Lune de Septembre …

Sous tes grands vents..ton soleil…tes couleurs..

Sous tes nuits apaisantes de fraicheurs.

Dans toute ta beauté..

Dans toute ta magie…tu m’aura apporté la lumière .

SA si précieuse  lumière qu’il fait jaillir sur moi m’apportant tant de bonheur.

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Sorcière

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.

.

Mutante

“Nous ne voyons pas les choses comme elles sont, nous les voyons comme nous sommes. “

                                                                                                                                                             Anaïs Nin

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J’ai toujours eu les racines profondes.

Attachée à un cadre qu’on pourrait presque dire prédestiné,

je faisait parti d’une toile.

Viscéralement partie intégrante d’ un paysage,

qui transporte le sang de ma lignée.

,

J’ai toujours eu les racines profondes.

Mes pas foulant un sol,

Que mes pied auront piétinés,

jusqu’a y tracer au fil des ans ,

Un sentier.

Mon  sentier de vie.

,

Mes années ont coulées,

dans ces sentiers bordés de paysage familier…

comme le sang,

se déversant  dans mes veines.

Comme la rivière coulant librement en son lit.

.

Le coin des rues,

a vu toutes mes époques.

Les pavés asphaltés,

ont reçu la sueur de mes étés,

et la sueurs de mes amours.

,

Les paysages des saisons se succédant.

L’air d’ici m’aura vu grandir.

L’air d’ici aura été témoin ,

des scènes de ma vie.

.

Mes racines …

Sont les murs  d’une ville,

et ses frontières sécurisantes.

.

Mes racines …

sont un ciel sous lequel m’endormir et m’éveillée.

Mes racines …

sont autant de  maisons ,

qui m’ont abrités.

,

Mes racines…

Comme autant de bras qui ont enlacés,

aimés,

donner.

,

Oui…

J’ai toujours eu les racines profondes.

Mais avec le temps,

je me dois de constaté ,

que mes racines sont plus aériennes.

,

Je suis une mutante ,

assurément.

et mes racines sont devenus  aériennes,

comme autant de rêves…

qui ont envie de fuites vers  le monde et d’autres villes,

et d’autres vies.

,

J’ai des envies d’envole,

à suivre l’ oiseau,

et voir du pays,

et foulé des pavés inconnus.

,

J’ai…au fil du temps,

des racines plus aériennes,

qui aspire à voir plus loin,

à ressentir d’autres paysages.

.

Pourtant…

mes racines,

quoique devenu aériennes,

plus que jamais ,

partent de l’intérieur de moi,

et c’est sur mon cœur qu’elles ont trouvées une terre fertile.

,

Et curieusement…

plus je me connait,

Plus je m’accroche à mes racines,

et plus elles m’envolent,

et plus je me reconnait moi ,

et pas juste un paysage.

.

Dites-moi….

Serait-ce l’apprentissage de l’éternité ?

(…)

.

Mutante.

J’ai les racines aériennes .

Comme autant de rêves coulant dans mes veines.

                                          Sorcière

Reprise

Fleur de coton.

(Musique s.v.p.)

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Une famille ,

Comme toutes les autres .

Sans rien ni plus .

Excepté…

Son histoire .

(Comme toutes les autres me dirai vous…)

.

.

Une histoire qui se raconte .

Dans cette rencontre aléatoire ,

de gens qui au départ ,

ne se sont pas choisi ,

mais qui assurément ,

se sont reconnu .

.

.

Une famille ….

au quotidien sans prétention ,

Qui s’est bâtie autour d’une machine à coudre ,

Qui sentait un peu l’huile et le coton .

.

.

Tout ce monde à table….

Sur fond  musiques…de rires…de crises et de pleurs bien entendu…

Une table au cœur d’un Québec qui vibrait si fort en ces temps .

(J’ai tellement aucune envie que personne ne quitte cette table….)

.

.

Alors…plus fort que ma volonté…

cette vie…cette union …

je la reconstruit…

de jours en jours….

de souvenirs en souvenirs .

D’un point droit …

parfois en zig zag…

D’un point surjet …

Ou d’un  point de croix…

(comme on se signe de la croix…)

pour la foi .

Pour que l’histoire ne s’achève pas…

pour que les souvenirs ne meurent….

.

.

…pour que l’odeur de coton reste au fond de mon être à tout jamais.

Pour un sourire..un soupir…

Pour une larme …

Surtout pour une main particulière posée sur la joue .

………..Pour une fragile fleur de coton .

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Sorcière

 

Fuite

(musique s.v.p. la pièce est si belle.)

.

.

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Tu  avance sur un chemin de verre ,

laissant tomber tes souvenirs ,

comme si c’était des morceaux de vêtements,

s’étiolant dans le vent.

..

.

.

Dans ta tête ,

Y une fuite ,

qui  laisse s’enfuir de morceaux de vie,

en emportant avec eux ta force vital.

,

.

.

J’ai beau souhaiter que le vent s’apaise ,

Qu’il me laisse au moins le temps d’en rattraper quelque uns …

comme on rattrape un ruban ,

juste…

pour ne pas les perdre a tout jamais.

Mais il s’acharne impitoyable ,

a les souffler encore et encore .

.

.

.

Mais le vent a beau souffler…

Il ne souffle pas ma peine …

Ni ma peur….

Ni cette tristesse qui m’envahit comme un nuage d’angoisse ,

et en moi… l’affolement de te voir partir en suivant tes souvenirs ,

me fait tomber sur les genoux….

dans une prière noyer de chagrin …

et de regrets.

.

.

.

J’ai peur de cette prison dans ta tête…

je ne suis pas prête…

Et j’ai peur …peur….et peur…

Peur que tu m’oublie…

Peur …..

que tu me rejette…

.

.

.

Et quand je te regarde…

Belle dans tes rires d’enfant….

des rires que je n’avait plus entendu depuis longtemps…

je me dit…

Dieu que je t’aime….

Je t’aime si fort.

Et j’implore Dieu…

J’implore la vie..

J’implore le temps …

Pour qu’il n’avance pas trop vite…

Qu’il s’arrête un peu…

Qu’il prenne une pause…

Pour que près de toi…

Je me pose.

.

.

.

et qu’on s’apaise……j’en ai besoin….

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.

.

.

Sorcière

Striptease

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La lune est haute dans le ciel .

et l’air glacial pince le visage .

Je marche dans les dernier souffle  de l’année qui agonise ,

et je vais tour à tour pleurer et rire ,

chaque minute de cette année qui se meurt ,

comme on se dois de le faire pour la vie qui s’enfui .

.

,

.

Une fois entrer dans la chaleur de mon repaire .

laissant l’air glacial dehors .

Je vais revivre dans le rouge rubis de mon verre ,

comme un pèlerinage ,

chacun des instants qui se meurt .

Comme un rituel nécessaire pour permettre de poursuivre.

.

.

.

Je vais porter fièrement le deuil de ces jours enfuis ,

Jours disparus à jamais , (aurais-je su les vivres pleinement ? )

Sans oublier qu’ ils auront laisser leurs empruntes au fond de moi pour toujours .

Ils seront désormais  le sang de mes veines .

Une cicatrice sur ma peau.

,

,

,

Je le sais..je ne saurai plus être dorénavant …

sans les joies et les peines …

sans les jours évanouit de cette année mourante.

,

,

,

et quand sonnera minuit…

elle glisseras douce et paisible vers les souvenirs ,

comme glisse une robe aussi noir qu’ un jour de deuil .

,

,

,

et je me retrouverai nue et frissonnante .

mais sur ma peau subsisterons les parfums du passés .

nue

,

,

,

et je serai prête…

J’enfilerai la fraicheur des dentelles blanches et vierges ,

de l’année naissante ,

comme si il s’agissait d’une robe de mariée .

.

.

.

et j’avancerai  ainsi vêtue …

vers ce renouveau .

plus forte des présents offerts ,

par l’année qui expire son dernier souffle ,

dans le givre d’une nuit glaciale.

`

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. 

Bonne et heureuse année !

 

À l’ombre d’un clocher . (musique s.v.p.)

.

.

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.

La fatigue dessine sur mon  visage ,

des ombres inconnues ,

qui semble alourdir  le poids de mes années ,

transformant mon visage au point que j’ai peine à  me reconnaitre dans la glace .

Ces jours qui endorment  de plus en plus ,

ma vraie nature.

.

.

Captive d’un quotidien insolite ,

les jours passes sans m’appartenir .

.

.

.

Et dans le grand sablier s’échappe mes jours ,

sans que je ne les vois passer .

Presque sans les vivres .

Je n’en suis que le témoin figée  .

et je regarde de temps en temps ,

la vie qui s’enfuie doucement sans que je puisses la retenir ,

même juste un peu .

,

,

Je suis à ce moment de l’existence ,

à me dire  pourtant ,

que chaque instant est si précieux et ne reviendra pas .

Période d’hyper conscience ,

Ou se bouscule le début et la fin ,

avec tout le questionnement qui accompagne ce pèlerinage .

.

.

J’aurais besoin   de vacance .

Besoin de faire disparaitre les murs de brique de mon quartier ,

qui s’élèvent devant moi où que je pose les yeux ,

donnant parfois l’impression d’ y être séquestrée .

.

.

.

Et il est venu ce moment de libération .

Moment ou il a repeint mon univers ,

d’une gamme de teinte et de nuances , d’insouciance et de liberté .

.

.

Avalant des kilomètres ,

Là où notre seule prison est le vent .

.

.

.

Et de clochers en clochers ,

Ouvrir grand les yeux pour mieux respirer .

Garder en bouche ,

ce gout de liberté .

Chevauchant la route ,

pour retrouver le rouleau des vagues ,

et les différent parfums de l’eau .

.

.

.

Dreamers…..

quand  s’évader deviens urgence .

Une main abandonnée sur sa cuisse ,

L’autre à laisser mes doigts courir dans la force du vent .

Les yeux rempli de soleil.

Le cœur rempli d’amour .

Un  grand respire ,

Pour protéger cet immense sentiment de liberté .

Qui  efface doucement les ombres sur mon visage ,

de  kilomètre en kilomètre ,

de clocher en clocher ,

À refaire le monde .

.

.

.

Et  enfin…

au plus profond de moi…

surgit ma renaissance .

et d’un même élan du coeur…

ma reconnaissance .

Et je prie  , à  l’ombre d’un clocher .

Une toute simple mais si sincère prière….

“Puisses ce sentiment ne jamais s’éteindre……”

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Sorcière